<br><br><div class="gmail_quote">2009/11/16 zobubuga <span dir="ltr"><<a href="mailto:zobubuga@gmail.com">zobubuga@gmail.com</a>></span><br><blockquote class="gmail_quote" style="border-left: 1px solid rgb(204, 204, 204); margin: 0pt 0pt 0pt 0.8ex; padding-left: 1ex;">
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Je ne pense pas que ce soit le bon angle pour aborder le problème. On peut<br>
plutôt poser le problème ainsi: "Faut-il faire émerger les condition pour<br>
qu'une société commerciale ait un réel choix entre utiliser OSM ou une<br>
cartographie payante?"<br>
Tant qu'il n'existe pas une séparation claire entre ce qui est la<br>
cartographie (et doit être commun) et les données qui vont apparaître sur la<br>
carte (et qui doivent rester privées), alors ce choix n'existe pas: Adopter<br>
OSM revient pour une société à donner à ses concurrents son contenu et donc<br>
à un suicide pur et simple...<br>
La cohabitation entre OSM et des POIs commerciaux est vraisemblablement une<br>
condition sine qua non d'une diffusion grand public, ce qui reste (à mon<br>
sens) réellement souhaitable!<br><br></blockquote></div><br>Tu peux déjà passer outre ce problème assez facilement en créant des bases de données séparées et avec une logique en code pour lire ce que tu as besoin. Je ne vois pas en quoi c'est un suicide pour une société de partager ses données. Quand une société partage ces données, c'est un échange réciproque. Tu n'aides pas que tes concurrents. A noter que la logique ici m'énerve un peu surtout quand on sait le contenu des nouveaux contrats TeleAtlas qui peuvent aller a dire que toute données qu'une société produit et mixer dans la base TA leur appartient.<br>
Légalement, tu arrives exactement a la même chose. Comme je le disais précédemment, si tu ne veux pas partager tes POI, tu les sépares en terme de base de donnée, et tu ne fais le mélange qu'après.<br>De plus, une autre méthode est de tout simplement créer un autre layer sous open layer avec tes points d'intérêts si tu ne veux pas partager. Je ne vois pas le problème.<br>
L'argument de la concurrence est faux, et ça fait des années que je l'entends vis a vis de Linux et autres projets open source. Si j'aide ce projet, et que je l'aide, j'aide aussi mon concurrent. Le fait est que si tout le monde joue le jeu, il y a plus de raisons pour partager que pour garder pour soi ce que l'on fait.<br>
Que l'on veuille ou non, OSM est plus ou moins viral. C'est pour ça qu'il faut faire attention a bien prendre toutes les protections légales nécessaires quand tu utilises tes données privées et de ne rien mélanger sous prétexte que c'est plus simple d'écrire le code au final.<br>
Je ne suis pas vraiment pour une cohabitation entre OSM et POI commerciaux car a terme les POI commerciaux vont disparaître. Je ne vois pas comment une base de données de POI commerciaux peut survivre si quelqu'un aime ce que le service offre. Ça implique que les gens vont aller faire la même chose et a terme la base de données de POI commerciaux va voir sa valeur fondre car le seul avantage qu'elle a c'est d'être présente avant que la version libre existe. Si le business model de la société est base sur ça, je ne vois pas comment ils pourront survivre.<br>
<br>Emilie Laffray<br>