<br><br><div class="gmail_quote">2010/7/22 Vincent de Chateau-Thierry <span dir="ltr"><<a href="mailto:vdct@laposte.net">vdct@laposte.net</a>></span><br><blockquote class="gmail_quote" style="margin: 0pt 0pt 0pt 0.8ex; border-left: 1px solid rgb(204, 204, 204); padding-left: 1ex;">
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Un seul node "place" à l'intérieur d'une limite admin de niveau 8, c'est un cas banal en France<br>
en zone urbaine dense où on n'aura pas (pas encore) figuré de nodes pour les quartiers.<br>
Par exemple La Garenne-Colombes : <a href="http://osm.org/go/0BPC1CqS--" target="_blank">http://osm.org/go/0BPC1CqS--</a><br>
Ce qui est souhaitable, c'est en tout cas de n'avoir qu'un seul node place éligible<br>
au titre d'admin_centre, pour reprendre la modélisation proposée ici :<br>
<a href="http://wiki.openstreetmap.org/wiki/WikiProject_France/Tracer_les_limites_administratives#Tags_de_la_relation" target="_blank">http://wiki.openstreetmap.org/wiki/WikiProject_France/Tracer_les_limites_administratives#Tags_de_la_relation</a><br>
<br>
C'est pour tendre vers cette unicité que Nominatim recourt à des polygones de Voronoï, en substitut de limites<br>
administratives ou postales. Le but reste de pouvoir associer sans trop d'ambiguïté un nom de rue à un nom de ville/village<br>
dont l'emprise, si elle n'existe pas, aura été approximée par un polygone dépendant de l'importance supposée de la "place" :<br>
c'est la pondération ("weighted") recherchée dans le message initial.<br></blockquote></div><br>Son algorithme de base était basé sur une importance des points en tant que tel, ce qui est assez proche de l'algorithme que j'utilise au boulot pour notre service de reverse geocoding (u-blox). L'avantage de passer de points a un polygone c'est la vitesse dans la base de donnée. Un algorithme base sur des points (a la Geonames) est environ 4 a 6 fois plus lent dans mes tests que sur des polygones, d'où l'intérêt d'utiliser des diagrammes de Voronoi qui offre la possibilité de créer un maillage avec aucune superposition.<br>
<br>Emilie Laffray<br>