<a href="http://www.regardsurlenumerique.fr/blog/2010/9/28/opendata-a-paris_nous-publierons-une-vingtaine-de-jeux-de-donnees-avant-la-fin-2010_/">http://www.regardsurlenumerique.fr/blog/2010/9/28/opendata-a-paris_nous-publierons-une-vingtaine-de-jeux-de-donnees-avant-la-fin-2010_/</a><br>
<br>Morceaux choisis:<br><blockquote style="margin: 0pt 0pt 0pt 0.8ex; border-left: 1px solid rgb(204, 204, 204); padding-left: 1ex;" class="gmail_quote"><p><strong>Concrètement, quelles données pourraient être diffusées ?</strong></p>
<p><strong>Jean-Louis Missika : </strong>Nous avons identifié une
vingtaine de jeux de données répondant à ce double enjeu de technique et
d’utilité et de fond. Il s'agit, par exemple, du catalogue des
bibliothèques municipales, du plan de voirie, du rattachement des
immeubles aux différents bureaux de vote... Pour l'instant, il s'agit
principalement de domaines « grand public ».</p></blockquote><div> </div><div><blockquote style="margin: 0pt 0pt 0pt 0.8ex; border-left: 1px solid rgb(204, 204, 204); padding-left: 1ex;" class="gmail_quote"><strong>Lors de l’examen de cette délibération au conseil municipal,
les débats ont notamment porté sur la question des licences qui
encadreront la diffusion de ces données [</strong><a href="http://owni.fr/2010/06/08/paris-un-pas-vers-l%E2%80%99opendata/"><strong>lire un résumé ici</strong></a><strong>, par exemple]. Y a-t-il eu des avancées ? </strong>
<p><strong>Jean-Louis Missika : </strong>Nous avons bon espoir d'aboutir
rapidement ! Les administrations ayant mené une politique de diffusion
des données ont fait des choix assez disparates en matière de licence,
créant souvent leur licence spécifique. Nous avons quant à nous décidé,
après des discussions avec la communauté, de nous orienter vers une
licence appelée «<em>Open Database License </em>» [des éléments de définition <a href="http://www.opendatacommons.org/licenses/odbl/"><strong>sont disponibles ici</strong></a>, en anglais, NDLR].</p>
<p>C’est une licence libre communautaire, plus adaptée à l’Open Data que
les Creative Commons, que nous utiliserons forts d’une conviction :
nous ne voulons surtout pas créer un système complexe, où il serait
quasi impossible de croiser des données venant de plusieurs sources
différentes, en raison de licences incompatibles.</p>
<p>Mais cette licence « ODbL » n’existe pas encore en version française,
et c’est précisément ce à quoi nous sommes en train de travailler, avec
les juristes de la Ville et ceux de la communauté. Il ne s’agit pas
uniquement d’une traduction « linguistique » : il faut réellement
l’adapter au contexte juridique français, aux différents textes en
application.</p>
<p>Nous devrons ensuite soumettre notre proposition de licence à l’ « <a href="http://okfn.org/"><em><strong>Open Knowledge Foundation</strong></em></a> »,
qui devra la valider. Le travail que nous sommes en train de faire ne
sera pas limité au seul cas parisien : cette version française de la
licence pourra ensuite être adoptée par d’autres villes.</p></blockquote>Paris choisit donc l'ODbL (!)<br><br><br></div>-- <br>Mon weblog - <a href="http://www.tenshu.fr/">http://www.tenshu.fr/</a><br>Je soutiens le Logiciel Libre, j'adhère à l'APRIL !<br>
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