<div class="gmail_quote">2011/1/8 Raphaël Pinson <span dir="ltr"><<a href="mailto:raphink@gmail.com">raphink@gmail.com</a>></span><br><blockquote class="gmail_quote" style="border-left: 1px solid rgb(204, 204, 204); margin: 0pt 0pt 0pt 0.8ex; padding-left: 1ex;">
Dans le cas des Ulis, qui est mon exemple, la ville a défini des<br>
quartiers dont les limites sont clairement tracées ...<br><br></blockquote><div><br>Attention. Pour éviter tout malentendu,
je n'ai rien contre l'identification des "quartiers". Là où j'ai un problème,
c'est avec des limites qui s'appellent "secteur 1", "secteur 2", etc
qui n'ont aucune existence légale (taggués en plus de la même manière
que les vrais limites administratives) et d'un intérêt discutable.
J'aurais la même critique si l'éducation nationale ajoutait ses zones
scolaires ou si on mettait les limites des bureaux de vote, des bureaux
de poste, des NRA des telecoms pour le dégroupage adsl, des zones
desservies par tel facteur avec ses heures de ramassage du courrier,
etc, etc. Quand on arrive à ce niveau, c'est utiliser la base de
données par facilité pour un usage dédié.<br>
Par contre, il n'y a aucun problème à identifier les polygones de
quartiers dans OSM, c'est ce genre d'information de base qu'il faut
ajouter (et accessoirement tenir à jour). Les applications qui peuvent
en être faites sont tellement vastes et nombreuses qu'il n'y pas
d'autre choix que de fixer des limites aux limites.<br>
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Pieren <br></div></div><br>