<div class="gmail_quote">2011/8/16 Guillaume Allegre <span dir="ltr"><<a href="mailto:allegre.guillaume@free.fr">allegre.guillaume@free.fr</a>></span><br><blockquote class="gmail_quote" style="margin: 0pt 0pt 0pt 0.8ex; border-left: 1px solid rgb(204, 204, 204); padding-left: 1ex;">
<br>
Oui, en général à partir des images Bing, ou éventuellement du cadastre.<br>
Ce qui m'arrive le plus souvent, c'est de fragmenter un polygone CLC en plusieurs<br>
plus petits, pour avoir une meilleure granularité.<br>
Dans ce cas, soit j'attribue la référence CLC au plus gros polygone survivant, soit<br>
je l'efface, mais je la laisse toujours à un seul polygone maxi par<br>
souci de cohérence.<br><br></blockquote><div><br>Conserver les références CLC après modification n'a aucun intérêt (je parle du tag 'ref', pas du tag 'source'). L'idée originale d'importer ces références étaient pour le cas d'une resynchronisation ultérieure avec un nouveau millésime de cette source, ce qui ne sera pas de la tarte car cela ne devrait affecter que les polygones qui n'ont pas changé depuis le premier import. Comme les gens ne s'occupent pas de ces tags, on ne pourra pas compter sur leur présence ou absence pour savoir si les polygones ont été ajustés ou pas. Il faudra donc passer par une étape de comparaison géométique entre les données originales (2006) et ce qui se trouvera dans la base au moment de la synchro. Bref, on aurait pu aussi bien ne jamais importer les refs avec CLC.<br>
Et si vous modifiez les polygones CLC depuis l'imagerie Bing, n'oubliez pas de mettre à jour le tag "source".<br><br>Pieren<br></div></div><br>