<html><head></head><body style="word-wrap: break-word; -webkit-nbsp-mode: space; -webkit-line-break: after-white-space; "><br><div><div>Le 25 oct. 2011 à 12:10, cyrille giquello a écrit :</div><blockquote type="cite"><div><blockquote type="cite"><font class="Apple-style-span" color="#000000"><br></font></blockquote><br>Ce point va dans le sens de l'agrégation des données plutôt que de<br>l'import. En pratique, pour les échanges avec les Collectivités, ceci<br>me fait pencher vers la mise à dispo des données par le producteur (du<br>moins le grossiste) sur un service web plutôt que la fourniture de<br>fichiers à importer dans OSM.<br></div></blockquote></div><br><div>Précisément, la demande majeure à adresser aux collectivités publiques est</div><div>la mise à disposition des données en libre service sous un format interopérable.</div><div>Que cela s'appelle portail opendata ou service WMS importe peu.</div><div><br></div><div>Il faut leur rappeler que, puisque leurs données sont déjà en libre service dans</div><div>leur réseau local, la mise à disposition externe représente un coût assez peu élevé,</div><div>s'il est correctement planifié.</div><div>Et qu'il est générateur d'une bonne image de marque.</div><div><br></div><div>De plus, l'expérience pionnière de Brest, en 2010, a montré que, même si les données</div><div>étaient sous un format propriétaire (ici, les shapefiles d'ArcGIS), il y avait moyen</div><div>pour un OSMeur bénévole d'opérer la conversion avec les bons conseils des</div><div>pros.</div><div><br></div><div>Plus, difficile, les convaincre qu'ils ne doivent pas avoir un droit de suite sur le devenir</div><div>des données.</div><div>Il s'agit quasiment d'un problème idéologique, car le modèle du codeur à temps partiel</div><div>(ou non) qui sublime les données créées par des professionnels heurte la logique de</div><div>ces derniers.</div><div>Pourtant, il y a dans le monde bien des endroits où des données publiques sont</div><div>réutilisées d'une manière créative et originale au profit du public général.</div><div>L'exemple le plus ancien et probant, en France, est la manière dont les données mises sur le site</div><div>Decaux et qui concernaient le Vélib de Paris ont devenir le point de départ d'applications</div><div>utiles et ingénieuses, qu'elles soient gratuites ou peu coûteuses.</div><div><br></div><div>Il doit y avoir d'autres exemples à chercher dans les villes françaises qui ont libéré des données.</div><div><br></div><div>C'est ce modèle vertueux qui finira par convaincre, un peu plus que le discours en</div><div>faveur de la liberté et de la juste restitution aux habitants qui doit pourtant </div><div>aussi être poussé énergiquement dans un pays moins pragmatique que ses voisins.</div><div><br></div><div><br></div><div>Christian (sans tirets)</div></body></html>