<p>J'ai aussi eu ce même mélange d'impressions : heureux de voir l'intérêt porté au projet, un peu crispé d'entendre sans arrêt parler de"logiciel OpenStreetMap" mêlé à plein de termes savants dont France Culture a le secret.<br>
L'accent était porté sur l'ajout de POI. C'est un petit peu réducteur, mais bien sûr c'est ce qui saute d'abord aux yeux.</p>
<p>Mais il n'y a pas mort d'homme ;-)</p>
<p>C'est aussi la première fois que j'entends parler positivement du manque d'homogénéité de la carte. Et c'est vrai que cela la rend "humaine".</p>
<div class="gmail_quote">Le 24 avr. 2012 23:51, "DH" <<a href="mailto:dhelfer@free.fr">dhelfer@free.fr</a>> a écrit :<br type="attribution"><blockquote class="gmail_quote" style="margin:0 0 0 .8ex;border-left:1px #ccc solid;padding-left:1ex">
Le 24/04/2012 22:15, Pieren a écrit :<br>
<blockquote class="gmail_quote" style="margin:0 0 0 .8ex;border-left:1px #ccc solid;padding-left:1ex">
2012/4/24 DH<<a href="mailto:dhelfer@free.fr" target="_blank">dhelfer@free.fr</a>>:<br>
<br>
Bon, ça reste du France-Culture, hein. "Subjectivation, fiction de<br>
l'espace", "état de veille et d'inventaire", "ça ré-introduit du<br>
récit", "réseau d'urbanité"<br>
<br>
Quelques perles:<br>
"carte soumise à des virus" (à propos des risques de vandalisme), "des<br>
zones où il n'y a pas de couverture GPS", "l’Antarctique, c'est très<br>
peu représenté", "la zone la plus représentée, c'est le Royaume-Uni"<br>
(l'Allemagne, en fait).<br>
<br>
</blockquote>
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Je suis globalement d'accord avec tes remarques ; il reste quelques approximations pour les vieux routards comme nous.<br>
Néanmoins, le discours (largement plus de 5 minutes d'affilé) tient la route et quelques sollicitations récentes sur cette liste, ouvraient des perspectives nouvelles auxquelles tous ne sont pas préparés (et ne l'ont pas forcément à l'être). Ce que j'aime foncièrement dans ce projet, c'est sa créativité, dans ce qu'il suscite comme innovation.<br>
Si cette nouvelle forme d'appropriation du terrain est soulignée sous l'angle académique, ne crachons pas dans la soupe.<br>
Après, on est d'accord, il faut rentrer à la mano ces fu..... limites communales, ces put... de bâtiments, d'adresses, de boîtes aux lettres et c'est cela qui nous préoccupe au quotidien.<br>
Quand je me rends compte (et j'en rendrais compte à la Base très prochainement) que les cabines téléphoniques disparaissent petit à petit (et je ne suis pas au fin fond de l'Ariège, coucou Hélène;-), je me dis que c'est peut-être un des indicateurs d'une ville, d'un quartier qui, subtilement, subrepticement, change la donne de nos quotidiens.<br>
Je crois (je peux me tromper) qu'un des intervenants voulait parler de Kibera (tout en le situant au Brésil); le bidonville qui existe parce qu'il est cartographié. Quelles villes, quelles campagnes dessinons-nous, voulons-nous dessiner ? Nous ressemblent-elles ?<br>
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Denis, hop dodo<br>
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