Bonjour Philippe,<div><br></div><div>Non, non  il y a une incompréhension.</div><div>Il n'y a pas d'objectif visé du département entier, bien entendu !</div><div><br></div><div>Les lycéens vont travailler sur une zone réduite, juste histoire de leur donner le goût et qui sait, faire des petits.</div>
<div>Et puis cela permet de sensibiliser aussi les professeurs encharge d'autres classes, et dans les années à venir. Et aussi les animateurs multimedia qui ne connaissent pas encore OpenStreetMap et qui occupe, on le voit bien, des rôles très importants autour de l'organisation de cartoparties sur le terrain.</div>
<div><br><br><div class="gmail_quote">Le 16 mai 2012 15:46, Philippe Verdy <span dir="ltr"><<a href="mailto:verdy_p@wanadoo.fr" target="_blank">verdy_p@wanadoo.fr</a>></span> a écrit :<br><blockquote class="gmail_quote" style="margin:0 0 0 .8ex;border-left:1px #ccc solid;padding-left:1ex">
Le 16 mai 2012 13:56, Lydie VINSONNEAU <<a href="mailto:l.vinsonneau@gmail.com">l.vinsonneau@gmail.com</a>> a écrit :<br>
<div class="im">> Bonjour à tous,<br>
><br>
> Je voulais vous présenter un projet sur lequel nous travaillons en ce moment<br>
> et que vous pourrez aller regarder plus en détail sur la page wiki dédiée.<br>
><br>
> Il s'agit là de sensibiliser au projet OpenStreetMap un échantillon de<br>
> jeunes lycéens répartis sur le territoire, en les accompagnant via un binôme<br>
> composé d'un professeur et d'un animateur multimédia qui peuvent également<br>
> être sensibilisés éventuellement à cette occasion.<br>
><br>
> Pour le moment, deux binômes sont constitués de façon ferme :<br>
> - dans le finistère : Lycée Pierre Guéguin et agglomération de Concarneau<br>
> - en ille-et-vilaine : Lycée Pierre Mendès-France et Communauté de communes<br>
> du Val d'Ille<br>
<br>
</div>A l'échelle de la communauté de communes c'est possible de travailler.<br>
Mais un lycée par département c'est trop limité pour donner des<br>
résultats acceptables par cette méthode, d'autant que les lycéens ne<br>
sont pas si mobiles que ça et ne connaissent pas bien le territoire du<br>
département entier ou n'auront guère l'occasion de s'aventurer à<br>
parcourir toutes les routes de campagne du département.<br>
<br>
Les objectifs de couverture du département entier me semblent donc<br>
trop ambitieux. Et peut-être vaut-il mieux qu'ils se consacrent<br>
d'abord à des territoires qu'ils connaissent bien ou qu'ils peuvent<br>
visiter facilement. Au delà, la connaissance sera très parcellaire et<br>
dispersée, et difficile à cadrer dans le projet commun puisqu'alors<br>
les apports ne seront pas facilement concertables dans une telle<br>
structure.<br>
<br>
Alors il vaut peut-être mieux travailler en commençant par une zone<br>
plus petite mais bien définie, et voir ensuite si on a les moyens (et<br>
le temps dans le cadre scolaire où le projet ne peut pas prendre toute<br>
la place sur les autres enseignements) d'aller au delà.<br>
<br>
Bref, former des projets pilotes plus locaux, en tirer des résultats<br>
par un retour d'expérience documenté qui permettra aussi à d'autres<br>
lycées de se lancer eux aussi dans leurs projets locaux, à l'échelle<br>
de leur zone de couverture : la communauté de communes me semble être<br>
la bonne échelle de travail pour un lycée, même si on déborde un peu<br>
(selon la localisation des élèves et leur motivation), sinon une<br>
partie du groupe de travail formé sera démotivé par un travail<br>
communautaire dans une zone qui leur est inaccessible et où on ne leur<br>
demandera aucun avis non plus puisqu'ils ne pourront pas l'argumenter.<br>
<br>
Je trouve donc prématuré (et un peu arbitraire) de prédéfinir dès le<br>
départ une limite telle que 1 par département (pourquoi il ne pourrait<br>
pas y en avoir plusieurs s'ils sont candidats à de tels projets ?) à<br>
une échelle trop large qui dispersera les efforts et produira des<br>
résultats de moins bonne qualité, juste parce que le projet qu'ils ont<br>
à gérer est dès le départ trop ambitieux.<br>
<br>
La bonne échelle c'est celle que les élèves voudront et pourront<br>
prendre en charge : il y a beaucoup à faire dans OSM, et il y a de la<br>
place pour plein de groupes divers (pas seulement scolaires), même si<br>
ça veut dire une répartition moins homogène des efforts, mais il ne<br>
faut pas leur faire croire qu'ils seront la référence pour tout un<br>
département : ils devront d'une façon ou d'une autre travailler en<br>
accord avec le reste de la communauté OSM qui ne les connait pas et<br>
n'a pas accès à eux non plus directement.<br>
<br>
De plus leur projet peut vouloir faire autre chose que les routes :<br>
par exemple les sentiers, les fermes et zones de culture,<br>
l'accessibilité des villes et la signalisation, les passages piétons,<br>
les pistes cyclables, les parcs et jardins, les rivières, des données<br>
sur la biodiversité, les bois, les étangs, les zones de chasse, les<br>
nouveaux quartiers périurbains, les terrains de sport, aires de jeu et<br>
clubs sportifs, les cinémas et centres d'animation, centres culturels,<br>
bibliothèques et médiathèques, les services sociaux, les associations<br>
locales, les médecins, infirmiers, pharmacies...<br>
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