<html><head></head><body style="word-wrap: break-word; -webkit-nbsp-mode: space; -webkit-line-break: after-white-space; "><br><div><div>Le 5 oct. 2012 à 20:47, Marc a écrit </div><blockquote type="cite"><div bgcolor="#FFFFFF" text="#000000"><font face="Calibri">
<br>
Je n'ai pas eu non plus de retour, sur le même type de
sollicitation. De plus, ses modifications étaient perfectibles
dans la continuité de la voie et sur les *_link. Faute de réponses
de sa part à ma demande d'explication, j'avais fait les modifs en
retour.<br>
Le highway 'trunk' n'a clairement pas la même signification dans
tous les pays, à Londre les 'trunk' sont des avenues principales
qui permettent le transit vers les Motorway. A Calgary, ce sont
les prolongements des autoroutes en centre ville, idem elles sont
bourrées de feux. En France, nous sommes un des rares pays au
monde à avoir deux 'classes' d'autoroute, les Autoroutes (celle
indiquée en bleue) et les routes pour automobiles.<br>
Cet utilisateur tag les highway en trunk plutôt à la mode
britanique qu'à la mode française.<br></font></div><font class="Apple-style-span" face="Calibri"><br></font></blockquote><br></div><div>Ceci confirme bien ce que je pense :</div><div><br></div><div>Pour le haut de gamme du réseau routier, la "mode française" sur OSM est trop littéraliste en voulant coller</div><div>aux 2 niveaux de 4 voies séparées françaises et en accordant trop d'attention au code de la route et à ses</div><div>panneaux.</div><div><br></div><div>Il serait plus logique de classer "motorway", les autoroutes et les voies rapides ou express, puisque les circulations</div><div>sont séparées physiquement et continûment et de classer "trunk", toutes les autres 4 voies (et peut-être aussi 3 voies),</div><div>dont une des catégories est le boulevard urbain et le reste des voies urbaines ou des nationales en rase campagne élargies.</div><div><br></div><div>A mon avis, il ne faut s'intéresser aux conditions techniques de circulation que si des opérations positives</div><div>d'apaisement de la circulation ont été mises en place (chicanes, ralentisseurs…), sans s'occuper, ni des </div><div>limitations de vitesse, ni des feux.</div><div>Le déclassement n'est justifié que dans ce cas et encore à condition de vérifier que cela ne reste pas un axe</div><div>urbain incontournable.</div><div><br></div><div>A l'autre bout de l'échelle, la "mode française" n'est pas accro aux définitions routières officielles, et elle prescrirait,</div><div>me dit-on, de classer "track", une route carrossable publique non revêtue , parce qu'elle a un petit peu d'herbe</div><div>entre 2 ornières.</div><div><br></div><div>Soit dit en passant, le tag "access=public" ne rend pas compte pleinement de la situation juridique des voies publiques,</div><div>car la circulation peut être parfois admise sans restriction sur des voies privées qui peuvent même porter des noms</div><div><br></div><div>Je sais bien que l'hésitation vient de la nature même de la cartographie : offrir une représentation transformée, mais</div><div>très "proche" du réel ou fournir des éléments de compréhension sur l'organisation des déplacements, donc une version</div><div>plus politico-sociale.</div><div><br></div><div>Comme le but d'OSM est, aussi, de fournir des bases concrètes à des services, il y a une question de dosage.</div><div>Mais, on doit rendre compte aussi des manières sociales d'organiser les flux.</div><div><br></div><div><br></div><div>Christian Rogel</div><div><br></div><div><br></div><br></body></html>