<html><head></head><body style="word-wrap: break-word; -webkit-nbsp-mode: space; -webkit-line-break: after-white-space; "><br><div><div>Le 12 nov. 2012 à 18:34, Philippe Verdy a écrit :</div><blockquote type="cite"><font class="Apple-style-span" color="#000000"><br></font><div><br></div><div>On a toujours une difficulté à déterminer où s'arrête le cours fluvial et où commence la partie maritime de l'embouchire, mais dans le cas présent à Brest c'est assez simple car la partie maritime (des abers ou rias) est bien connue et parfaitement délimitée, les fleuves changeant même de nom dans leur partie maritime (par exemple l'Élorn devient la Rivière de Landerneau dans sa partie maritime après le dernier pont habité sur le fleuve à Landerneau, et l'Aulne devient « l'Aulne maritime » dans son aber, lui aussi parfaitement délimité par sa dernière écluse).</div></blockquote></div><br><div>Mais, juste avant le Pont de l'Iroise, que je viens de traverser, il a 90 minutes, je peux certifier que, côté Brest,</div><div>il n'y a pas marqué Rivière de Landerneau, mais "An Elorn" (sur la N 165, depuis l'origine, la plupart des panneaux </div><div>de voies de sortie sont en breton de Brest à Quimper, et celui-ci aussi, mais pas pour l'Aulne, 40 km plus loin).</div><div><br></div><div><blockquote type="cite"><div>Ce qui est important est de bien marquer sur la carte jusqu'où peut remonter la mer.</div></blockquote><br></div><div>A Quimper, la limite officielle Odet maritime/Odet fluvial est 3 km avant le point où la marée remonte.</div><div><br></div><div>Toujours, ces micro-problèmes de terrain.</div><div><div><br></div></div><div>Je ne vois pas trop comment mettre un trait de côte dans nos rias aux multiples petits bras de mer. C'est un coup</div><div>à avoir des fuites en séries.</div><div><br></div><div><br></div><div>Christian Rogel</div><div><br></div><div><br></div></body></html>