<html><head><meta http-equiv="content-type" content="text/html; charset=utf-8"></head><body dir="auto"><div>Le 21 mai 2013 à 02:57, Philippe Verdy <<a href="mailto:verdy_p@wanadoo.fr">verdy_p@wanadoo.fr</a>> a écrit :</div><div><br></div><blockquote type="cite"><div dir="ltr">Non c'est toi qui a divagué complètement dans ta phrase, que je cite : <span style="font-family:arial,sans-serif;font-size:13px">"Nomino est amusant : comme les noms de lieu typiques de l'Ouest gallo peuvent être les mêmes qu'au Québec, </span><span style="font-family:arial,sans-serif;font-size:13px">on peut mettre du breton de l'autre côté de l'Océan."</span><div><div><font face="arial, sans-serif"><br></font></div><div><font face="arial, sans-serif">Maintenant tu divague encore en voilant mélanger les deux langues pour créer de toute pièce une toponymie "bretonne".</font></div></div></div>
</blockquote><br><div>Merci de pontifier sur le breton. En deux mots, l'opération dont je parle est faite</div><div>en liaison avec un organisme officiel qui valide la terminologie bretonne, à</div><div>partir des données cadastrales et du référentiel public.Que cela ne paraisse pas</div><div>urgent à tous de créer des plans de ville, dont les odonymes et autres toponymes</div><div>soient en breton est plus que probable, mais, cela se fait partout en Bretagne.</div><div>Pour le fun, on peut adapter le principe hors de Bretagne.</div><div>On peut aussi l'adapter à toutes les langues et la fréquence en est inversement</div><div>proportionnelle au caractère officiel de la langue.</div><div><br></div><div>Christian R.</div><div><br></div></body></html>