<br><br><div class="gmail_quote">Le 26 juin 2013 18:57, Mikaël Cordon <span dir="ltr"><<a href="mailto:mikael.cordon@gmail.com" target="_blank">mikael.cordon@gmail.com</a>></span> a écrit :<br><blockquote class="gmail_quote" style="margin:0 0 0 .8ex;border-left:1px #ccc solid;padding-left:1ex">
<p dir="ltr">C'est également ma façon de faire : rapport à la frontière public/privée. D'autant que si le privé interdit d'entrer sur sa parcelle, on ne pourra pas accéder jusqu'au bâtiment...</p>
<p dir="ltr"><br></p></blockquote><div>Je suis d'accord avec le "d'autant que", mais pas avec la distinction privé/public. L'usage veut qu'en France le passage est autorisé sur les propriétés privées tant qu'il n'est explicitement interdit par une barrière, une pancarte. Si nous devions supprimer de la carte tous les chemins privés, les piscines, parcs et autres espaces privés et néanmoins ouvert au public...</div>
<div><br></div><div>L'accès à mon bâtiment se fait par un espace privé, ouvert au public (les invités, mais aussi les facteurs, les porteurs de colis etc...) , jusqu'au digicode, et c'est peut-être là que la carto peut s'arrêter.</div>
<div><br></div><div>Oui, je suis définitivement en faveur d'un OSM orienté vers les besoins des usagers, de nous tous, et non pas d'un duplicata des bases de données administratives.</div><div><br></div><div>Denis</div>
</div>