<html><head><meta http-equiv="Content-Type" content="text/html charset=iso-8859-1"></head><body style="word-wrap: break-word; -webkit-nbsp-mode: space; -webkit-line-break: after-white-space; "><br><div><div>Le 7 nov. 2013 à 09:34, Jean-Baptiste Holcroft <<a href="mailto:jb.holcroft@gmail.com">jb.holcroft@gmail.com</a>> a écrit :</div><br class="Apple-interchange-newline"><blockquote type="cite"><p>Concernant les lieux dits, je ne suis pas expert, mais en Alsace les noms de petites zones (que j'ai appelé lieu dits) dans une commune s'affichent sous josm sous forme d'un petit drapeau. En Bretagne il y a le même symbole vert d'un village/ville, donc je me suis dit que ce n'était pas traité de la même façon.<br>
C'est donc normal ?</p>
</blockquote><br></div><div>A mon avis, un lieu-dit (habité ou non-habité) ne peut pas être référé à une zone. L'aire à laquelle il est appliqué</div><div>relève de la logique floue, c'est-à-dire, qu'elle est une représentation collective, qui peut être variable selon </div><div>les générations.</div><div>Un nouvel habitant peut croire obsolète, ce qui est très vivant chez les habitants de longue date.</div><div><br></div><div>Un lieu-dit peut s'étendre virtuellement, se rabougrir, disparaître et être remplacé par un ou plusieurs autres.</div><div>Les cas particuliers sont les zones aménagées (zones d'activités ou lotissements d'habitation) auxquels une limite</div><div>officielle peut exister, mais une zone aménagée peut, dans la représentation collective, être incluse dans la zone</div><div>virtuelle d'un lieu-dit plus grand.</div><div><br></div><div>Il faut, évidemment, ne pas croire que les lieux-dits relevés dans le cadastre soient les seuls valables, étant donné les</div><div>conditions chaotiques et inachevées de ce recueil.</div><div><br></div><div><br></div><div>Christian R.</div><br></body></html>