<div dir="ltr"><div><div><div><div><div><div>Bonjour,<br><br></div>Petit point de vue de VTTiste et contributeur.<br></div><br>J'utilise un datalogger pour enregistrer la trace de mes parcours, afin par la suite d'enrichir OSM.<br>
</div>Si en terrain découvert, les relevés collent avec les vues aériennes, dans les bois, sous couvert, c'est tout autre chose.<br></div>Et le cadastre qui ne colle pas du tout à la réalité du terrain n'est pas une aide dans le tracé des chemins.<br>
</div>C'est la première difficulté.<br><br></div>La seconde a aussi été évoquée : la prise de notes.<br><div>En VTT, nous sommes soumis à des chocs (terrains caillouteux, branches...), des projections (poussière, eau, boue...), sans évoquer le risque de chute.<br>
</div><div>Résultat, le matériel voyage en sécurité dans le sac à dos.<br></div><div>Prendre des notes ou une photo, pour qualifier le chemin par exemple, c'est donc :<br></div><div>- s’arrêter, souvent en plein effort ;<br>
</div><div>- éventuellement retirer les gants ;<br></div><div>- éventuellement se nettoyer les mains (boue, graisse - oui il arrive de faire un peu de mécanique en cours de route...) ;<br></div><div>- enlever le sac à dos, l'ouvrir, extraire le matériel parmi tout l'outillage de réparation embarqué ;<br>
</div><div>- prendre les notes et/ou la photo ;<br></div><div>- tout ranger, remettre le sac sur le dos, remettre les gants ;<br></div><div>- repartir, parfois à froid, parfois au pied d'une montée.<br><br></div><div>
Et ceci, à chaque intersection ou changement de type de terrain, de largeur de chemin... ce qui arrive très fréquemment.<br></div><div>Bref, vous l'aurez compris, on s'en lasse très rapidement, ça casse le rythme, ça fatigue, on passe plus de temps à l'arrêt qu'à rouler, et donc le champs d'action est limité.<br>
</div><div><br></div><div>Du coup, je trace les chemins à partir de mes relevés GPS approximatifs, et je qualifie en fonction de ma mémoire. Le résultat n'est donc pas parfait.<br><br></div><div>Et de la même manière, on se lasse à chaque intersection de regarder une carte pour savoir quel chemin prendre en fonction de sa présence ou non dans OSM...<br>
<br></div><div>Donc en effet, l'enrichissement des chemins ne se fait pas de façon aussi rapide qu'on aimerait...<br><br>Erik<br></div><div><br><br><br></div><div><br></div><div><br><br></div><div><br></div></div>
<div class="gmail_extra"><br><br><div class="gmail_quote">Le 19 décembre 2013 22:44, Vincent de Château-Thierry <span dir="ltr"><<a href="mailto:vdct@laposte.net" target="_blank">vdct@laposte.net</a>></span> a écrit :<br>
<blockquote class="gmail_quote" style="margin:0 0 0 .8ex;border-left:1px #ccc solid;padding-left:1ex">Bonsoir,<br>
<br>
Le 19/12/2013 21:25, Christian Quest a écrit :<div class="im"><br>
<blockquote class="gmail_quote" style="margin:0 0 0 .8ex;border-left:1px #ccc solid;padding-left:1ex">
Toute la différence entre:<br>
- prendre son vélo pour cartographier<br>
- cartographier pour prendre son vélo<br>
<br>
Je suis plutôt dans la première catégorie.<br>
</blockquote>
<br></div>
Euh... on a le droit de pas choisir ? :-)<br>
<br>
<blockquote class="gmail_quote" style="margin:0 0 0 .8ex;border-left:1px #ccc solid;padding-left:1ex"><div class="im">
<br>
Le 19 décembre 2013 21:23, Eric SIBERT <<a href="mailto:courrier@eric.sibert.fr" target="_blank">courrier@eric.sibert.fr</a><br></div>
<mailto:<a href="mailto:courrier@eric.sibert.fr" target="_blank">courrier@eric.sibert.<u></u>fr</a>>> a écrit :<div class="im"><br>
<br>
Techniquement ça permet en théorie de cartographier à tête<br>
reposée une fois<br>
chez soi, et pendant la sortie on ne s'interrompt pas à des<br>
moments gênants<br>
<br>
<br>
Je n'ai pas testé la caméra embarquée (sur potence ou sur casque?).<br>
</div></blockquote>
<br>
Pour avoir pratiqué sur casque, j'ai quelques arguments pour cette solution :<br>
- la hauteur de PDV est supérieure, ce qui ne changera pas grand chose en forêt mais beaucoup dès que tu reviens sur la route : ton casque est au dessus de la taille moyenne des voitures, donc au lieu de prendre, depuis la potence, des gros plans des rétros, tu peux faire de vraies photos,<br>
- sur le casque la prise de vue suit ton regard, tu peux donc prendre en latéral en tournant la tête.... plutôt que le guidon. C'est sans comparaison pour l'espérance de vie, si tu ne veux pas t'arrêter de rouler,<br>
- sur le casque, les chocs pour l'appareil sont largement absorbés. À l'inverse sur la potence, l'appareil se prend toutes les vibrations. Pour la netteté et contre la casse, le casque s'en sort mieux (sauf chute sur la tête, hein).<br>
Le bémol sur casque : la discrétion. Ça, faut oublier. Tu passes pour un zozo... mais bon, de mon expérience auvergnate je ressors 99% de curiosité amusée de la part des passants, et 1% de scepticisme suspicieux. Je m'attendais à des stats plus balancées.<span class="HOEnZb"><font color="#888888"><br>
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vincent</font></span><div class="HOEnZb"><div class="h5"><br>
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______________________________<u></u>_________________<br>
Talk-fr mailing list<br>
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