<div dir="ltr"><div class="gmail_extra"><br><div class="gmail_quote">Le 3 novembre 2014 15:02, Jérôme Seigneuret <span dir="ltr"><<a href="mailto:jseigneuret-pro@yahoo.fr" target="_blank">jseigneuret-pro@yahoo.fr</a>></span> a écrit :<br><blockquote class="gmail_quote" style="margin:0 0 0 .8ex;border-left:1px #ccc solid;padding-left:1ex"><div dir="ltr">C'est quoi cette analyse??? Je réponds un peu sur un hors sujet:<span class=""><div><span style="font-family:arial,sans-serif;font-size:13px"><br></span></div><div><span style="font-family:arial,sans-serif;font-size:13px">1. On ne peut pas à la fois réclamer la traçabilité et permettre aux</span><br style="font-family:arial,sans-serif;font-size:13px"><span style="font-family:arial,sans-serif;font-size:13px">agriculteurs de diffuser des semences sans contrôle. Les consommateurs n'ont</span><br style="font-family:arial,sans-serif;font-size:13px"><span style="font-family:arial,sans-serif;font-size:13px">pas envie de jouer les cobayes. Voir les morts en 2011 à cause de graines</span><br style="font-family:arial,sans-serif;font-size:13px"><span style="font-family:arial,sans-serif;font-size:13px">germées bio.</span><br style="font-family:arial,sans-serif;font-size:13px"><a href="http://www.slate.fr/story/39309/bacterie-tueuse-nichee-graines-germees-allemandes" style="font-family:arial,sans-serif;font-size:13px" target="_blank">www.slate.fr/story/39309/bacterie-tueuse-nichee-graines-germees-allemandes</a> </div><div><br></div></span><div>Quel rapport? c'est un problème sur une méthode culturale et ça n'a rien à avoir avec le fait d'avoir des semences certifiés et provenant de lobbit industriel!!</div><div><br></div><div>Une semence peut être vérifiée, avoir une traçabilité et être certifié sans pour autant avec une interdiction de réutilisation! Certaines variété ancienne ne sont pas certifié car ça à un coût. Ainsi on se retrouve avec un apprivoisement génétique par la spécification des variétés proposées à la culture.</div><span class=""><div></div></span></div></blockquote></div><br></div><div class="gmail_extra">C'est pire que ça : les variétés anciennes ontg tout bonnement été supprimées des catalogues officiels des espèces autorisées à la cutlure, ave aussi une loi en interdisant la production et la revente (elles ne sont plus tolérés que pour les usages personnels ou la recherche mais impossible de les mettre sur le marché, aussi bien pour l'alimentation humaine qu'animale).</div><div class="gmail_extra">Le cataglogue des espèces officielles est maintenant complètement trusté par les hybrides brevetés qui font tout pour éliminer les espèces naturelles dont les hybrideurs ils se veulent être les seuls gardiens pour leurs propres sélections.</div><div class="gmail_extra">C'est déjà très avancé dans le mode des céréales et les fruits et légumes, et cela s'impose de plus en plus aussi sur les autres cultures animales (ostréiculture, conchiliculture y compris).</div><div class="gmail_extra">D'ailleurs la France ne contrpole plus vraiement le contenu de son catalogue officiel puisque ce sont des organismes paneuropéens qui imposent les cultivars hybrides. Les autres n'ont plus d'agrément et on leur reproche le manquye de traçabilité ou de cahier des charges. La seule façon pour les agricultures de parvenir à conserver les espèces anciennes c'est de les classer avc de couteuses et longues études ou développer leur label</div><div class="gmail_extra">De fait le nombre de variétés est en constante chutte libe avec une standardisation poussée, une perte des qualités gustatives (du fait que ces espèces sont forcéesà pousser sur des sols et dans des conditions initialement pas adaptés, et par le contrpole obligatoire par des produits phytosanitaires et l'abus des engrais pour éviter l'épuisement totale des sols (qui se produisent de toute façon car il n'est à la longue plus possible non plus d'augmenter sans arrêt les engrais et produits phytosanitaires très polluants alors que ces espacèes sont de plus en plus fragiles et beaucoup plus exposées aux maladies qu les autres. Cela a été fait pour la production de masse dans des fermes-usines. Et cela a un énorme impact sur la biodiversité et la destruction des paysages et ressources en eau (et pas que dans nos pays riches c'est encore pire dans le Tiers-Monde : le gain de productivité initialement a des bénéfices mais rapidement ils disparaissent devant les couts d'exploitation qui montent en flèche).</div><div class="gmail_extra">D'ailleurs une chose facile à voir : regardez comment lses fruits et légumse qu'on achète ne se conservent pas du tout. Un sachet de pommes acheté dans les marchés et tous les distributeurs ne tient pas la semaine alors que les espèces qu'on trouve encore dans nos jardins peuvent être récoltées et se conserver tout l'hiver. Impossible d'acheter des fraises aujourd'hui qui tiennent plus d'1 jour, elles pourrissent tout de suite. Ces cultures mal fichues et insipides sont une grosse source de gaspillage.</div><div class="gmail_extra">UIne bonne raison ausi de passer au bio : c'est bien meilleur même si c'est moins bien calibré et ça se conserve beaucoup mieux (avantage aussi des circuits courts puisque ces espèces sont issues de sélections locales adaptées et cueillies à leur maturité correcte, avec aussis moins de manipulations : pas de lavage, pas de passage dans une étuve de murisserie)</div></div>