<div dir="ltr">Le 19 décembre 2015 à 20:38, <span dir="ltr"><<a href="mailto:osm.sanspourriel@spamgourmet.com" target="_blank">osm.sanspourriel@spamgourmet.com</a>></span> a écrit :<br><blockquote class="gmail_quote" style="margin:0px 0px 0px 0.8ex;border-left-width:1px;border-left-color:rgb(204,204,204);border-left-style:solid;padding-left:1ex"><div bgcolor="transparent" text="#000000">mets simplement un start_date=2015-12-31 (ce n'est pas plutôt le 1026-01-01 ? D'un point de vue comptabilité c'est plus simple !)</div></blockquote><div style="font-size:12.8px"><br></div><div style="font-size:12.8px">(Passons sur le "1026" au lieu de "2016", c'est une faute de frappe évidente).</div><div style="font-size:12.8px"> </div><div style="font-size:12.8px">- C'est effectivement le 1er janvier pour la date de début effective, pas le 31 décembre.</div><div style="font-size:12.8px">- Pour la date de fin des anciennes entités c'est le 31 décembre, les mairies de ces communes sont d'ailleurs ouvertes le 31 décembre jusqu'au soir, au minimum le service pour les inscriptions sur les listes électorales de 2016 (si la mairie ferme à 16h ou 17h, c'est encore possible il me semble en dernière minute dans le poste local de police ou gendarmerie, qui se contente d'enregistrer la demande sur un formulaire daté qui sera transmis et traitée par la commune nouvelle lors de sa réouverture).</div><div style="font-size:12.8px"><br></div><div style="font-size:12.8px">Pour ces deux dates, comme on ne précise pas l'heure (pas nécessaire), la donnée est a priori inclusive : une date de début (start_date) commence à 0 h (00:00:00), une date de fin (end_date) finit à 24 h (23:59:60).<br></div><div style="font-size:12.8px"><br></div><div style="font-size:12.8px">On pourrait éventuellement abréger aussi les dates: "start_date=2016" (donnée inclusive, c'est donc le 1er janvier inclus), et "end_date=2015" (donnée inclusive, c'est donc jusqu'au 31 décembre inclus). Ces abréviations sont compatibles avec le format de date ISO qui ne requière pas qu'on précise les dates et heures avec toute la précision possible. Cependant par soucis de clarté (notamment les dates de fin), il vaut mieux préciser au moins le mois et le jour et éviter absolument "end_date=2016".</div><div style="font-size:12.8px"><br></div><div style="font-size:12.8px">Bref :</div><div style="font-size:12.8px">- "start_date=2016-01-01" pour la nouvelle entité</div><div style="font-size:12.8px">- "end_date=2015-12-31" pour l'ancienne</div><div style="font-size:12.8px"><br></div><div style="font-size:12.8px">----</div><div style="font-size:12.8px"><br></div><div style="font-size:12.8px"><div>De toute façon la nouvelle commune doit nécessairement réviser ses listes électorales dès janvier, et les faire valider rapidement (au plus tard 15 jours avant les élections de début mars, et même un peu avant puisqu'il faut aussi permettre l'ouverture des campagnes électorales et valider les candidatures puisque les candidats à une élection officielle doivent être des électeurs inscrits). La commune doit tenirt compte des électeurs disparus (décès de l'état-civil) et arrivés (inscrits, ou mineurs préinscrits atteignant leur majorité durant l'année et qui sont sur une annexe à la liste principale avec la date, où ils sont automatiquement ajoutés à la liste, selon la date du scrutin dans l'année). La commune doit aussi traiter les radiations de ses listes pour les électeurs qui se sont inscrits dans une autre commune ou perdent leur droit d'électeur (elle en est notifiée par la préfecture ou par les tribunaux). Pour cela ce sera un objets des premières réunions du nouveau conseil municipal en janvier et transmettre les listes à jour en préfecture.</div><div><br></div><div>En février c'est le temps possible pour les recours éventuels devant les tribunaux administratifs (ces recours existent le plus souvent du fait de candidats, ou partis politiques ou associations locales, ils viennent rarement des électeurs individuels eux-même; ce n'est pas tant la qualité d'électeur qui est contestée que les cas de double inscriptions et la répartition des inscrits sur des sous-listes par bureau de vote, selon leur adresse de résidence dans la commune qui pose problème). Les recours existent cependant dans certains cas pour des électeurs qui se voient refuser une inscription suite à un changement de résidence ou pour ceux qui ont deux résidences ou plus occupées chacune une partie de l'année mais où les communes les considèrent toutes comme secondaires, normalement ce devrait être la résidence fiscale mais les jsutificatifs d'adresse peuvent être contradictoires selon les sources et leur date d'émission.</div></div><div class="gmail_extra"><br><div class="gmail_quote"><div> </div></div></div></div>