<div dir="ltr">Je n'ai PAS fait grandir les communes, puisqu'elles n'étaient PAS là du tout à l'origine (il n'y avait strictement aucune des communes de Polynésie et d'ailleurs en dehors des Tuamotus les autres communes de Polynésie sont toujours absentes : pour les iles de la Société, dont Tahiti, je vous mets au défit de savoir à quel commune appartient un lieu avec les données existantes, dès qu'on s'éloigne un peu du noeud central sur la même ile le résultat est faux, et impossible de désambiuiser les homonymes !).<div><br></div><div>Non il n'y avait rien du tout, juste des noms de certains villages (uniquemen leur noeud) et des noms pour certains motus ou iles hautes mais même pas pour tous les 72 atolls des Tuamotus.<div><br></div><div>Et non un seul noeud ne suffit pas du tout, Nominatim lui-même situait les aérodromes présents sur un des motus comme faisant partie d'un atoll voisin, parce que justement il n'y avait AUCUN découpage (et Nominatim cherchait alors parmi des noeuds proches)...</div><div><br></div><div>Je vois mal à quel titre les Allemands vont demander un revert (d'autant que celui qui a fait cette demande s'est trompé à plusieurs reprises dans ce qu'il a dit). A ce prix là ils peuvent demander un revert sur tous les autres archipels environnants (et casser alors le travail commencé par exemple en Indonésie ou aux Philippines, ou plus près aux Kiribati, aux îles Marshall et aux îles Cook).</div><div><br></div><div>Franchement je ne comprend pas ta position.</div><div><br></div><div>Ces polygones n'ajoutent aucune ambiguité, au contraire ils éliminent précisément pleins de possibilités en réduisant les recherches à un seul atoll à la fois. Ces 72 atolls sont les briques de base de l'ISPF (pas les communes puisqu'il y en a moins et que la plupart des communes ont plusieurs atolls, eux-même regoupés souvent en communes associées au sein de la cmême commune). Ensuite pour les noms de villages ou d'iles dans les atolls, il y a de nombreux homonymes (en plus des noms alternatifs).</div><div><br></div><div>Sans ce découpage, on ne peut pas chercher facilement un lieu par son nom et faire la différence selon l'atoll ou la commune d'appartenance, d'autant plus qu'on n'a encore que très peu d'autres éléments de comparaison parmi les autres toponymes géolocalisés les plus proches.</div><div><br></div><div>Que ce soit ensuite la commune ou la COM polynésienne qui soit compétente sur le secteur maritime ne fait aucun différence, dans les deux cas elles se réfèrent au même nom d'atoll. Et tout le modne s'en sert pour définir aussi les limites des réserves naturelles, des zones de pêche ou des zones ostréicoles, et s'y réfère aussi pour réglementer les lagons (presque tous les atolls ont des lagons sauf 4 ou 5 qui sont comblés).<br></div><div><div class="gmail_extra"><br><div class="gmail_quote"><div>La plus grande partie de ce qui est à géolocaliser (d'autres toponymes) sera sans ambiguité sur terre dans ces polygones précisément et on sait où chercher, (il y a aussi des toponymes pour certaines zones marines ou pour les passes, mais là aussi on sait où les chercher), chaque atoll étant déjà là. Et je n'ai supprimé aucune des "iles" tracées avec les lignes de côtes même si elles sont très peu précises. Les domaines maritimes et terrestres sont déjà séparés, et j'ai rassemblé des tas d'iles oubliées (parmi les milliers présentes) en les groupant atoll par atoll (et je crois n'en avoir oublié aucune parmi celles qui étaient déjà là, même s'il en manque qui ne sont pas tracées du tout). J'ai aussi éliminé des tracés qui n'étaient pas des lignes de côte du tout mais des éléments au milieu de la terre (par exemple des pistes d'aviation) et là c'était des erreurs manifestes.</div><div><br></div><div>Personne n'a pu me montrer où j'aurais pu faire une erreur d'attribution (c'est possible mais avec les milliers de controles visuels et de recherches faites, il ne doit pas en rester beaucoup (ce n'était pas du tout le cas avant, c'était bourré d'erreurs ou de contradictions, mais personne n'avait osé s'attaquer à faire le tri dans ce magma informe sur une zone aussi étendue). Bref j'ai réduit le travail en le divisant en sous-zones bien plus locales et plus faciles à traiter. Et même si les iles sont redessinées et d'autres sont ajoutées ou fusionnées ou supprimées car "fantômes", cela ne remet pas en cause l'existence et la séparation des atolls.</div><div><br></div><div>En revanche il manque toujours les récifs émergés (les atolls noyés aussi appelés "bancs", mais qui ne sont pas tous dans les eaux territoriales tracées pour l'instant uniquement par génération automatique à 12 milles  autour des iles existantes de ces atolls, à l'aide d'une ligne de base tracée à "vue de nez" depuis de vielles images bing ou Yahoo en basse résolution).</div><div><br></div><div>Le gros ennui est que pour avoir des limites plus précises, il faudrait du monde sur place, et ces iles ont très peu d'habitants et localement pas d'internet assez fiable, rapide et peu couteux pour que les locaux puissent contribuer à OSM. On pourrait cependant s'appuyer sur le cadastre polynésien pour améliorer les choses (mais on le sait aussi en métropole, il n'est pas une référence pour délimiter la séparation entre terre et mer).</div><div><br></div><div>De plus on n'est pas en métropole et il y a une coutume locale concernant la propriété, celle des "maureas" dans le droit patrimonial familial, un droit qui n'a pas disparu complètement depuis que les iles sont françaises à la fin du XIXe siècle, et que reconnait aussi le gouvernement polynésien (tant qu'il n'est pas anticonstitutionnel, car il ne s'agit pas de ressuciter non plus le vieux droit familial et tribal, basé sur les sacrifices humains, l'anthropophagie rituelle ou utilisés comme moyen de limitation des naissances ou de subsistance en cas de calamité naturelle, ou les anciennes guerres tribales ; ce droit est reconnu mais mieux contrôlé aujourd'hui depuis qu'il y a une solidarité au sein de la communauté polynésienne et avec la France et les autres pays voisins, mais aussi des tribunaux pour gérer les litiges civils et une police pour faire appliquer l'ordre commun sans que ça dégénère en conflit intercommunautaire).</div><div><br></div><div>Avec ce droit coutumier, figure les droits de pêche et de culture aussi dans les lagons, même si le gouvernement polynésien y met de l'ordre, il n'est pas là pour fermer les concessions si aucun intéret général ne le justifie.</div><div><br></div></div><div class="gmail_quote">Le 22 mars 2016 à 01:41,  <span dir="ltr"><<a href="mailto:osm.sanspourriel@spamgourmet.com" target="_blank">osm.sanspourriel@spamgourmet.com</a>></span> a écrit :<br><blockquote class="gmail_quote" style="margin:0px 0px 0px 0.8ex;border-left-width:1px;border-left-color:rgb(204,204,204);border-left-style:solid;padding-left:1ex">
  
    
  
  <div bgcolor="transparent" text="#000000"><br>
    Philippe, tu te fasis des amis en Allemagne avec tes relations
    gigognes :<br>
    <a href="http://forum.openstreetmap.org/viewtopic.php?id=53173&p=7" target="_blank">http://forum.openstreetmap.org/viewtopic.php?id=53173&p=7</a><br>
    Quand ils verront que tu as fait grandir les communes si tu ne
    corriges pas rapidement ce sera un beau revert.<br></div></blockquote></div></div></div></div></div>