<html><head><meta http-equiv="Content-Type" content="text/html charset=utf-8"></head><body style="word-wrap: break-word; -webkit-nbsp-mode: space; -webkit-line-break: after-white-space;" class=""><div dir="auto" style="word-wrap: break-word; -webkit-nbsp-mode: space; -webkit-line-break: after-white-space;" class="">Selon Bloomberg, non seulement Apple veut améliorer sa cartographie mondiale (visible par « Plans »), mais, elle veut explorer la mise à jour par drones pour lesquels elle a demandé une autorisation.<div class="">Elle s’intéresse à la cartographie in door (comme Google).</div><div class="">Par ailleurs, il n’y a pas que Mapillary pour s’intéresser à la reconnaissance automatique des panneaux routiers. Telenav (anciennement Skobbler) explique que la précision de la cartographie sera capitale pour les véhicules autonomes et qu’elle ne pourra se contenter d’une mise à jour tous les ans ou plus. L’objectif est la mise à jour quotidienne des principaux itinéraires.</div><div class="">Pour cela, il faut relever ce qu’OSM donne de manière très incomplète, les panneaux et surtout les restrictions de direction.</div><div class="">L’avenir est donc dans la détection et la construction de cartes basées sur les images et l’utisation du <a href="https://fr.wikipedia.org/wiki/Apprentissage_profond" class="">deep learning</a></div><div class=""><br class=""></div><div class="">Article de blog (en anglais) par Philipp Kandal, « Improve OSM », <a href="http://blog.improve-osm.org/en/2016/11/a-glimpse-into-the-future-of-mapmaking-with-osm-2/" class="">http://blog.improve-osm.org/en/2016/11/a-glimpse-into-the-future-of-mapmaking-with-osm-2/</a> . Indiqué dans le dernier Résumé hebdo OSM (n°328)</div><div class=""><br class=""></div><div class="">Ces perspectives amènent à mesurer le chemin parcouru par OSM depuis 2004 :</div><div class="">Au tout début, il n’était question que de s’appuyer sur un appareil relativement rustique, le GPS, et uniquement pour la géométrie linéaire de la voirie et des bâtiments. Tout le reste était amené par l’observation visuelle sur le terrain.</div><div class="">Aujourd’hui, l’open data, la télédétection, les algorithmes et les drones réduisent l’espace dévolu aux contributeurs bénévoles. Jusqu’où peut aller cette évolution ?</div><div class="">Peut-on se contenter de dire que la Terre est si immense et le nombre d’objets à qualifier est si grand qu’il restera toujours un espace de jeu, même pour le contributeur lambda ?</div><div class=""><br class=""></div><div class="">Christian R.</div></div></body></html>