<div dir="ltr"><br><div class="gmail_extra"><div class="gmail_quote"><blockquote class="gmail_quote" style="margin:0 0 0 .8ex;border-left:1px #ccc solid;padding-left:1ex"><div style="word-wrap:break-word"><div><br></div><div>Que dire alors du mappeur débutant et, surtout, que lui dire s’il veut s'éclater dans un tissu urbain sur lequel les data risquent de pleuvoir comme à Gravelotte ?</div><div>Lui ferait-on passer un test pour savoir s’il doit vérifier l’accessibilité ou les espaces verts ? Tout en lui disant que la voirie, c’est mort, puisque <i>Big data brother</i> s’en occupe.</div></div></blockquote><div><br></div><div>Eh bein non justement, "Big Data Brother" ne s'en occupe pas directement, il premâche juste le travail et présente ses propositions d'intégration, et peut effectuer aussi des comparaisons automatiques pour détecter des différences. Tout le reste est à faire par des humains qui doivent utiliser leur bon sens. Et ça donne encore beaucoup de travail, mais les tâches prémachées épargnent aussi bien du travail rebutant en facilitant les choses d'une part, et en concentrant mieux les efforts sur les choses plus prioritaires ou les anomalies les plus sérieuses...</div><div><br></div><div>Osmose ne fait pas autre chose que ça, il n'intègre rien du tout directement, il donne une vue synthétique de ce qui est à faire, même s'il utilise de nombreues sources collectées automatiquement mais non intégrées directement dans la base. Ce sont des outils comme Osmose qu'il faudra de plus en plus présenter aux contributeurs individuels (d'autres outils d'aide à l'intégration viendront encore permettant de compiler plus de sources ou pour des domaines plus spécialisés). La contribution de l'utilisateur individuel ne sera donc jamais nulle, elle restera essentielle.</div><div><br></div></div></div></div>