<html><head><meta http-equiv="Content-Type" content="text/html; charset=utf-8"></head><body style="word-wrap: break-word; -webkit-nbsp-mode: space; line-break: after-white-space;" class=""><br class=""><div><blockquote type="cite" class=""><div class="">Le 24 oct. 2018 à 17:26, Christian Rogel <<a href="mailto:christian.rogel@club-internet.fr" class="">christian.rogel@club-internet.fr</a>> a écrit :</div><div class=""><div style="word-wrap: break-word; -webkit-nbsp-mode: space; line-break: after-white-space;" class=""><div class=""><br class=""><br class=""></div><div class="">A titre d’exemple supplémentaire, le Conseil départemental du Finistère vient d’ouvrir son portail Opendata (je l’avais suggéré lorsque j’y travaillais, il y a plus de 12 ans).</div><div class="">Il s’appuie sur GeoBretagne et une partie des jeux de données est visualisable par défaut sur des cartes OSM.</div><div class="">On y trouve beaucoup de choses intéressantes (et classiques) : itinéraires de rando, espaces naturels, arrêts de bus, données sociales, comptes financiers, etc.</div><div class="">Les données sur les aires de covoiturage incluent 62 aires existantes et 4 programmées avec, en prime, le nom en breton moderne, quand il y en a un.</div><div class="">Il y a une doc sur l’API (HTTP REST API), mais, en anglais.</div><div class=""> </div><div class="">Il y aussi un portail du Comité de tourisme en Bretagne, mais, c’est un opendata fail : il faut d’identifier pour utiliser les données, comme sur le portail <a href="http://www.datatourisme.fr/" class="">Datatourisme</a> qui est coprodut pas divers acteurs et diffusé depuis peu sur datagouv. Ils annoncent 200 utilisateurs réguliers et 10% de « citoyens » sur les 850 comptes ouverts.</div><div class="">Je leur ai écrits qu’ils faisaient de l’ouverture Canada dry.</div><div class=""><br class=""></div></div></div></blockquote></div><br class=""><div class=""><br class=""></div><div class="">L’équipe de la plateforme Datatourisme a été très réactive et a répondu immédiatement à mon message pointant la contradiction entre opendata et nécessiter d’ouvrir un compte.</div><div class=""><br class=""></div><div class="">Extrait de la réponse : « S'agissant de votre remarque sur la création de compte, s'il faut noter que tout le monde a la possibilité de créer son compte (il n'y a pas de modération ou validation de ces derniers, la plateforme est accessible à tous), il est vrai que l'étape obligatoire d'identification déroge aux principes de base de l'OpenData. </div><br class="">Cela s'explique par le fonctionnement même de la plateforme, qui donne la possibilité de paramétrer des flux sur mesure au moyen d'une sélection des catégories de données souhaitées (filtres) et du choix du format de restitution. L'accès à un espace privé est nécessaire pour pouvoir paramétrer ses flux, les modifier, et télécharger ces données.<br class=""><br class="">Cependant, afin de répondre intégralement aux exigences de l'OpenData et au principe d'accès anonyme sans enregistrement, nous avons mis en place un dump sur le portail <a href="http://Data.gouv.fr" class="">Data.gouv.fr</a>, permettant d'accéder à l'ensemble du dataset de manière anonyme et sans compte : <a href="https://www.data.gouv.fr/fr/datasets/datatourisme-2/" class="">https://www.data.gouv.fr/fr/datasets/datatourisme-2/</a> « .<br class=""><div class=""><br class=""></div><div class="">Il semble donc que les mappeurs peuvent quand même y trouver des ressources très intéressantes, car le tourisme embrasse beaucoup d’éléments à cartographier.</div><div class=""><br class=""></div><div class=""><br class=""></div><div class="">Christian R.</div></body></html>