<div dir="ltr"><div>Salut,</div><div><br></div><div>Tagguer grade1 une route en gravier (non "paved") c’est aussi induire en erreur le GPS ou le lecteur d’une carte qui s’attend à trouver une route en dur facilement carrossable.</div><div>Qu’il soit, piéton, cycliste ou automobiliste.</div><div>Par exemple sur CyclOSM je considère un grade1 comme un chemin roulant et lisse pour les vélo de route à pneu fin.<br></div><br><div class="gmail_quote"><div dir="ltr" class="gmail_attr">Le lun. 17 févr. 2020 à 20:08, Sébastien Dinot <<a href="mailto:sebastien.dinot@free.fr">sebastien.dinot@free.fr</a>> a écrit :<br></div><blockquote class="gmail_quote" style="margin:0px 0px 0px 0.8ex;border-left:1px solid rgb(204,204,204);padding-left:1ex">Bonjour,<br>
<br>
rainerU a écrit :<br>
> J'ai déjà eu le même genre de discussion avec lui en 2013. En gros, sa<br>
> règle est : ce qui est goudronné est unclassifed, lest track c'est<br>
> tout ce qui n'est pas goudronné, donc le grade1 est pour les "chemins<br>
> empierrées larges, roulables en voiture standard".<br>
<br>
Je fais de même. J'ai pris cette habitude en cartographiant une région<br>
d'Italie (les Marches) dans laquelle je me rends souvent et qui compte<br>
de nombreuses pistes non goudronnées, mais recouvertes d'un gravier<br>
compact blanc (enfin, plutôt beige écru). Pour moi, sur une route<br>
goudronnée, que je déclare « unclassified », il est possible de rouler<br>
à bonne allure car le revêtement procure une bonne adhérence et on peut<br>
avoir une relative confiance sur la continuité du revêtement. Pas de<br>
doute, c'est une « route ». Sur une voie en gravier, non seulement<br>
l'adhérence est faible, mais il arrive que le ravinement fasse de gros<br>
dégâts. Il est hors de question de rouler à 50 km/h sur une telle voie<br>
ou même de la privilégier à une route goudronnée à peine plus longue.<br>
J'indique donc que cette voie non goudronnée est une « piste » et si sa<br>
surface est plane et homogène, j'indique que son « tracktype » est<br>
« grade1 ».<br>
<br>
Il me semble notamment important de distinguer les deux pour le<br>
routage : il faut privilégier les axes goudronnés. Je me souviens d'une<br>
fois où mon GPS m'a fait prendre une route de 8 km pour accéder à un<br>
plateau en montagne. La « route » s'est révélée être une piste couverte<br>
de ce gravier écru et était très défoncée. J'ai du faire une bonne<br>
partie du trajet au pas. Arrivé au sommet de la montagne, j'ai eu la<br>
surprise de me retrouver face à une belle route, large, goudronnée et<br>
lisse. Je me suis demandé pourquoi mon GPS m'avait fait prendre la piste<br>
déglinguée. J'ai constaté que les deux voies étaient considérées comme<br>
équivalentes dans la base de mon GPS, mais que la route goudronnée<br>
faisait 9 km (soit 1 km de plus que la piste). Mon GPS m'a donc fait<br>
prendre le chemin le plus court. De retour à la maison, j'ai constaté le<br>
même problème dans OSM et je me suis empressé de rectifier le tir.<br>
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Sébastien<br>
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Sébastien Dinot, <a href="mailto:sebastien.dinot@free.fr" target="_blank">sebastien.dinot@free.fr</a><br>
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Ne goûtez pas au logiciel libre, vous ne pourriez plus vous en passer !<br>
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</blockquote></div><br clear="all"><br>-- <br><div dir="ltr" class="gmail_signature">Florimond Berthoux</div></div>