[OSM-talk-fr] micromapping des rues

g.d g.di at wanadoo.fr
Jeu 2 Sep 12:36:38 UTC 2010


Ta "version 3" me paraît être un approche prometteuse.
On verra à l'application, quelles améliorations apporter...

L'important est, il me semble,
a) de relever la topo*logie* (linéaire, pour la navigation des  
véhicules),
Et (!)
b) de relever la topo*graphie* (surfacique, en ce cas des surfaces  
accessibles,
avec éventuellement une distinction entre surfaces piétonnières et  
celles accessibles en voiture.

et relier les deux, aux points d'intersection d'accès à la place,
afin qu'un logiciel pour piétons ou randonneurs n'envoie pas les pauv'  
s faire tout le tour de la place.

Bien sûr, "on ne tague pas pour l'aspect sur la carte", au grand  
jamais ! , ce serait abject, méprisable, condamnable et condamné
(selon les consignes déontologiques en vigueur),
mais j'aimerais quand même que le dessin sur la carte soit  
lisible... ;-)

Alors, à temps perdu je bricole-teste des variantes sur un village
(http://www.openstreetmap.org/? 
lat=43.99111&lon=3.60696&zoom=17&layers=O,
la "place du Quai" m'a l'air de correspondre à ce qui est dit dans les  
map features, au sujet de pedestrian :
" If there are roads passing over, map them as usual and make  
connecting nodes at all intersections with the pedestrian area",
(Ma dernière modif sur cette place n'est pas encore rendu).

A ta question
> Dans la représentation surfacique, que représente-t-on ?
la réponse théorique serait donc
> L'emprise de la voirie, trottoirs inclus (highway=what)
	avec "what" = pedestrian.

Pour l'instant je ne suis pas entièrement satisfait du résultat de mes  
essais,
je continuerai à tâtonner la semaine prochaine, actuellement suis  
occupé ailleurs...

trop long
aka Gerhard

Post scriptum :
Le mot "micromapping" me déplaît :
Qui aurait défini à quelle échelle commence le "micro" ou le  
"maquereau" ?
Au zoom 17, au zoom 18, ou où ?
A ces échelles, on a encore du mal à mettre des noms ou logos de  
boutiques sur la carte sans qu'ils se chevauchent.
Pour un un plan lisible d'une zone piétonne, d'une rue commerciale,  
ces échelles sont insuffisantes.

Je pense, qu'osm se doit d'offrir des possibilités permettant de  
décrire en détail ce qui est.
La densité d'informations utiles



Le 31 août 10 à 12:09, Vincent Pottier a écrit :

> On 31/08/2010 10:58, Julien Balas wrote:
>>
>>
>> Si je lisais ce genre de commentaire sur mon travail, je pense que je
>> serai moins motivé car j'aurai le sentiment que la communauté ne
>> respecte pas le travail de ses contributeurs.
>>
>> D'autant plus que le rendu est quand même plutôt sympa je trouve.
>> Quand on dezoom et que le village est pas ou peut relié au reste du  
>> monde on se dit qu'il aurait peut-etre mieux valu commencer par les  
>> départementales, mais après tout chacun map ce qui lui semble  
>> important.
>>
>>
>> Je ne dis pas qu'il ne faut dire que du bien mais seulement qu'il  
>> faut
>> rester poli et respecter les efforts des autres contributeurs, même
>> lorsque le résultat de ces efforts peut être amélioré (il peut  
>> toujours
>> l'être).
>>
>> Ca peut aussi etre le déclencheur de discussion.
>> Pour les rivières on a une way + des area, pourquoi on ne pourrait  
>> pas faire ca pour les rues ?
>> Si dans la même base on veut faire du routage mais aussi  
>> représenter les trottoirs et les places de parking, c'est peut-etre  
>> une solution.
> Et les places ? On y mélange allègrement le filaire et le surfacique !
>
> La façon de cartographier les places n'est pas uniforme. Imaginons  
> une place carrée bordée de 2x2 rues parallèles
> ascii art : police taille fixe nécessaire.
> - ou | : un seul way,
> = ou W : ways superposés,
> + : nœud partagé
> x : nœud terminal
> . : nœud d'angle
> 1/ certains tracent les rues puis un polygone les recouvrant,  
> polygone highway=* (* pouvant même être 'residential')
>   |     |
> --+=====+--
>   W     W
>   W     W
> --+=====+--
>   |     |
>
>
> 2/ certains interrompent les rues puis tracent un polygone, polygone  
> highway=* (* pouvant même être 'residential')
>   |     |
> --x-----x--
>   |     |
>   |     |
> --x-----x--
>   |     |
>
> 3/ certains tracent les rues et un polygone englobant à la limite du  
> bâti ou du parcellaire privé, polygone highway=* (* est alors  
> souvent 'pedestrian')
>   |     |
>  .+-----+.
> -++-----++-
>  ||     ||
>  ||     ||
> -++-----++-
>  .+-----+.
>   |     |
>
> 4/ certains... (je ne finirai pas l'inventaire...)
>
> La forme 3 est celle qui a ma prédilection. Elle permet de :
> * ne pas cartographier deux fois la même chose (cas 1/ : deux  
> représentation du residential)
> * être lisible pour le routting (continuité des ways absente du 2)
> * représenter l'emprise réelle de la place
> * faire joli ;-)
>
> Autre question...
> Dans la représentation surfacique, que représente-t-on ?
> L'emprise de la voirie, trottoirs inclus (highway=what) ?
> L'emprise de la chaussée ?
>
> Bref la tentative de représentation surfacique n'était pas si  
> farfelue, même si elle n'est pas encore pertinente.
> --
> FrViPofm qui met les pieds dans la place
>
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