[OSM-talk-fr] Relecture finale du catalogue libre
Guillaume Allegre
allegre.guillaume at free.fr
Dim 31 Oct 17:11:06 UTC 2010
Le ven. 29 oct. 2010 à 23:19 +0200, Sébastien Dinot a ecrit :
> La présentation me semble... perfectible et je souhaite recueillir vos
> suggestions. Ayez cependant à l'esprit que, format et cible obligent, le
> nombre de mots est très contraint.
Clairement, le texte actuel :
- a une intro trop abstraite
- insistent trop sur les cartoparties, qui sont pourtant minoritaires en
terme d'entrées de données
- ne parle pas des autres sources que le GPS
Je tente une réécriture, surtout sur le 2e paragraphe.
D'autres pourront améliorer.
> ------------------------------------------------------------------------
> Une cartographie libre : OpenStreetMap
>
> Le projet OpenStreetMap vise à fournir des données cartographiques
> librement utilisables et modifiables par et pour tous. À l'instar de
> Wikipédia, les initiateurs de ce projet estiment qu'une connaissance
> cartographique est un bien commun. En tant que tel, elle doit donc être
> accessible à tous, sans que personne ne puisse en restreindre
> l'utilisation.
>
> À l'image de ce qui se passe dans le logiciel libre, les utilisateurs
> d'OpenStreetMap se retrouvent par groupe d'intérêt local et mettent en
> place des opérations de cartographie. Ils parcourent alors une zone
> définie, équipés d'un appareil de type GPS pour réaliser une carte
> locale et ensuite la mettre à disposition. Il est également possible de
> structurer les informations pour ajouter des indications sur les
> transports, les services municipaux, etc. Ainsi, des cartes très
> complètes sont réalisées et utilisables par tous, par exemple pour
> réaliser un plan touristique.
Le projet OpenStreetMap vise à fournir des données cartographiques
librement utilisables et modifiables par tous, à l'instar de Wikipédia.
Les initiateurs de ce projet estiment qu'une connaissance
cartographique est un bien commun ; la base des données
collectées est donc placée sous une licence libre afin que personne
ne puisse en restreindre l'utilisation.
Les données ont des origines multiples : numérisation de sources
libres ou libérées pour l'occasion (en France, le cadastre, l'imagerie
satellite Spot), imports de données publiques (base européenne Corine
Land Cover...), mais surtout les études de terrain. Armés de GPS
et de bloc notes, les "mappeurs" relèvent les routes, chemins et toutes
les caractéristiques remarquables (ponts, tunnels...). Parfois, ils se
regroupent pour couvrir efficacement des zones délimitées, en organisant
des cartoparties. Il est également possible de
structurer les informations pour ajouter des indications sur les
transports, les services municipaux, etc. Ainsi, des cartes très
complètes sont utilisables par tous, par exemple pour réaliser un
plan touristique.
--
° /\ Guillaume Allègre Membre de l'April
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